Le LE PETIT LAROUSSE illustré (Éditions Larousse), qui paraît le 22 mai, a dévoilé les « 150 nouveaux mots, sens, locutions et expressions » ainsi que “les 40 nouvelles personnalités marquantes” qui feront leur entrée dans la
nouvelle édition 2025 du dictionnaire.
La Femtech fait partie des élu.e.s … une consécration !!
Et s’il faut encore un peu attendre pour connaître la définition exacte du dictionnaire (elle s’inspirera sûrement de l’entrepreneuse Ida Tin qui a introduit, pour la première fois en 2016, le terme Femtech comme appellation désignant toutes les technologies destinées à la santé des femmes), nous ne boudons pas notre plaisir.
Car entrer dans le dictionnaire, c’est entrer dans la langue des Françaises et des Français et la Femtech a besoin de cette reconnaissance.
En 2023, notre sondage réalisé en collaboration avec l’Institut Poll&Roll indiquait que 89% des Français·e.s ne connaissaient pas le terme Femtech.
On ne va donc pas se priver de cette caisse de résonance sans pareille.
Certes les éditions papier des dictionnaires ont un impact plus limité qu’avant.
Selon Consumer Panel Services GfK, en 2004, on comptait plus de 1,6 million de dictionnaires généralistes et scolaires vendus en un an, contre 567.760 en 2023, soit une chute de près de 65%.
Mais la symbolique d’entrer dans le Panthéon des mots reste très forte et le virage digital pris par les Éditions Larousse et les Éditions Le Robert consolide cet état.
Du côté des médias, l’information a été couverte par l’ensemble des rédactions.
Un coup d’œil à notre outil de veille (Pickanews/Onclusive) pour voir que l’information a généré plus de 307 retombées presse :
- 106 articles en presse écrite
- 142 articles en presse online
- 52 reportages en télé et radio
En revanche, si l’on ajoute le mot Femtech à notre recherche, le nombre de retombées presse passe à 86 !
- 64 articles en presse écrite
- 22 articles en presse online
Il n’y a pas de petites victoires et nous célébrons comme il se doit l’entrée du mot Femtch dans le dictionnaire, mais nous restons conscient.e.s du chemin qu’il reste à parcourir pour faire parler de l’intime !